Depuis plusieurs jours, l’état de santé du Pape François inquiète les fidèles du monde entier. Hospitalisé pour une bronchite aux complications incertaines, le Souverain Pontife est au centre des prières et des interrogations. Cette situation relance une question troublante : se pourrait-il que le Pape François soit le dernier successeur de Pierre, comme l’aurait prédit la fameuse prophétie de saint Malachie ?
Une prophétie venue du Moyen Âge
Saint Malachie, archevêque irlandais du XIIe siècle, aurait laissé une liste de 112 devises latines décrivant chaque pape jusqu’à la fin des temps. Ce texte, publié en 1595, présente comme dernier souverain pontife un certain Petrus Romanus, qui, selon les termes de la prophétie, « paîtra ses brebis au milieu de grandes tribulations » avant la destruction de la « cité aux sept collines » et le jugement de Dieu.
La conclusion du livre que je cite ici met en lumière un aspect essentiel de cette prophétie : « La conclusion naturelle de la grande lutte engagée entre Satan et le Christ, c’est la destruction des assemblées du mal et le triomphe de l’Église. » Ce passage s’inscrit directement dans la logique des tribulations annoncées, où l’Église devra faire face à des attaques sans précédent avant de voir l’accomplissement des promesses divines.
Un pape aux accents romains
Depuis son élection en 2013, le Pape François a réaffirmé son lien avec Rome, insistant sur son titre d' »évêque de Rome » et signant ses documents en italien plutôt qu’en latin. Ce détail, apparemment anecdotique, n’a pas échappé à ceux qui voient en lui Petrus Romanus. Dans un contexte de crises successives touchant l’Église, son pontificat a été marqué par des turbulences internes et externes qui résonnent avec la prophétie de saint Malachie.
Le texte de saint Malachie prédit qu’après Petrus Romanus, « la cité aux sept collines sera détruite, et le Juge terrible jugera son peuple« . Ce passage rappelle fortement l’Apocalypse de saint Jean, qui décrit la chute de la « grande Babylone« , ville symbole de la corruption et du déclin spirituel.
Comme le souligne le livre, « Hélas! ne voyons-nous pas déjà de nos jours (1900) Rome, la cité sainte, devenue le point de mire de la révolution antichrétienne?« . Le climat actuel, marqué par des tensions sociales et une sécularisation galopante, alimente les craintes d’une crise profonde, voire d’un effondrement symbolique de la Ville éternelle.
L’Église à l’épreuve des tribulations
Malgré ces perspectives sombres, la promesse du Christ demeure immuable :
« Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre elle. » (Matthieu 16, 18)
Les tribulations annoncées ne sont pas synonymes d’anéantissement de l’Église, mais plutôt d’une épreuve ultime, un combat spirituel où la foi des fidèles sera mise à rude épreuve. Comme l’affirme la prophétie : « Les tribulations et les épreuves se multiplieront : Pascet oves in multis tribulationibus« .
Un appel à la vigilance et à la prière
Que l’on perçoive ces événements comme l’accomplissement d’une prophétie ou comme une coïncidence, ils nous rappellent une réalité essentielle : l’urgence de la prière, de la vigilance et de la confiance en la divine Providence. Si l’avenir demeure incertain, une chose est sûre : l’Église, fondée sur le roc de Pierre, survivra aux tempêtes, guidée par le Christ jusqu’à la fin des temps.
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Article très important merci
Que le Seigneur nous garde et revienne en Gloire
Amen