Dead Name : un documentaire courageux contre l'idéologie transgenre
Dans un contexte où l'idéologie transgenre gagne du terrain de manière alarmante, le documentaire "Dead Name" apporte un témoignage crucial sur les ravages qu'elle provoque au sein des familles.
Dans la sphère transgenre, appeler quelqu'un par son "dead name" signifie se référer à eux par leur nom de naissance, et non par leur nouveau nom choisi.
Malgré les tentatives de censure, ce film important vient d'être sélectionné pour le Religion Faith International Film Festival, une reconnaissance méritée pour son message de vérité.
Un documentaire qui donne la parole aux parents
"Dead Name" suit le parcours de trois familles dont les enfants ont été happés par l'idéologie transgenre. Le film dépeint crûment la détresse et le désarroi des parents face à la confusion de genre de leurs enfants, fréquemment exacerbée par des influences extérieures nuisibles.
Dead Name, le documentaire indépendant, n'est ni incendiaire, ni provocateur, ni sophistiqué, ni politique. Il s'agit plutôt d'un portrait intime de trois parents dont la vie a été bouleversée et à jamais transformée parce que leurs enfants ont déclaré (ou se sont vu attribuer) une identité transgenre. Dans un film d'une heure qui tisse ensemble principalement trois histoires, nous découvrons à quel point il est choquant pour des parents d'apprendre que leurs enfants, à l'adolescence, ont soudainement décidé de passer de femme à homme ou d'homme à femme.
Dans une autre histoire, nous suivons la descente cauchemardesque d'un parent dans le monde transgenre lorsque son ex-conjoint attribue un genre féminin à leur très jeune fils. Dans toutes ces histoires, nous trouvons des parents luttant contre l'incrédulité, la solitude, l'impuissance, l'isolement et le désespoir.
En fin de compte, la plus grande crainte de chacun est la transition médicalisée de leur enfant — bien que dans une des histoires, le chemin vers la médicalisation puisse s'être révélé fatal. Dead Name nous dévoile les pensées intimes, les luttes et les déclarations de ces parents qui se battent pour leurs enfants qu'ils sentent perdus. Nous avons réalisé Dead Name pour ouvrir la conversation, humaniser le sujet du point de vue des parents et leur donner une voix.
Parmi les témoignages poignants, on découvre :
- Amy, dont la fille adolescente s'est procuré de la testostérone auprès du Planning Familial
- Helen, une femme lesbienne en conflit avec son ex-épouse qui veut "transitionner" leur jeune fils
- Bill, dont le fils atteint d'un cancer a été convaincu d'être une femme à l'université.
Une censure révélatrice
Moins de deux mois après sa sortie, le documentaire a été brutalement retiré de la plateforme Vimeo, révélant la puissance du lobby transgenre pour faire taire toute voix dissidente. Comme l'explique le réalisateur Taylor Reece au Christian Post :
"Je ne suis pas totalement surpris, car je connais la force que les militants trans utilisent pour faire taire quiconque remet en question leur dogme."
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Cette censure n'a heureusement pas empêché le film de trouver son public. Il est désormais disponible sur un site dédié, où les ventes et locations ont explosé.
Un appel à la vigilance
"Dead Name" met en lumière des questions cruciales trop souvent occultées :
- Les conséquences à long terme des bloqueurs de puberté et des hormones croisées
- La précipitation avec laquelle on prescrit ces traitements à des jeunes en détresse psychologique
- L'éclatement des familles provoqué par la médicalisation du genre
Face à cette idéologie destructrice, ce documentaire nous rappelle notre devoir de protéger les enfants et de défendre la vérité sur la nature humaine voulue par Dieu. Sa nomination au festival est un signe encourageant que la vérité finira par triompher.
Prions pour que ce film ouvre les yeux de nombreuses personnes sur les dangers de l'idéologie transgenre et pour que les familles touchées trouvent le soutien et la force nécessaires pour y résister.