Il n’a pas fallu longtemps, pour voir Matthieu rentrer en conflit direct contre l’Église de Dieu, c’est systématique de la part des apostats, des hérétiques ou des schismatiques, il faut inlassablement s’attaquer à la vérité et à la vraie Église de Dieu pour prétendre être soi-même le bon chemin et en quelque sorte, s’autolégitimer, à l’image de l’islam ou du protestantisme. Quelle tristesse de voir un homme, autrefois revêtu de la soutane, utiliser sa chute personnelle pour salir le ministère sacré ! Matthieu, cet ex-prêtre devenu star éphémère des écrans, crache aujourd’hui sur l’Église qui l’a nourri. Sous prétexte de « libération », il répand des mensonges aussi vieux que l’Enfer lui-même. Répondons, sans détour.
« La fonction de prêtre mène forcément à l’abus »
Quelle insulte envers le Christ, qui a institué le sacerdoce ! Depuis les apôtres, des milliers de saints ont porté cette grâce sans tache. Croire que l’habit fait l’abuseur, c’est accuser le feu de brûler plutôt que le pyromane. Les trahisons individuelles existent, l’Église les combat avec rigueur, mais réduire le sacerdoce à ça, c’est nier l’œuvre de Dieu. Le prêtre n’est pas un « risque », c’est un instrument du Ciel.
« Les prêtres contrôlent tout, comme une caste »
Voilà le langage des révolutionnaires, pas des fidèles ! Le prêtre n’est pas un chef, mais un serviteur. Il ne « gouverne » pas : il guide. Il ne « contrôle » pas : il enseigne les vérités éternelles. L’Église n’est pas une dictature, mais une famille, où le père spirituel offre les sacrements, non par pouvoir, mais par obéissance au Christ. La communion, le pardon… Ces trésors ne sont pas son pouvoir, mais celui de Dieu, transmis depuis Pierre.
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Matthieu ose dire :
« Qui accepterait qu’un homme décide pour vous ? ».
Mais le prêtre ne décide rien ! Il transmet ce que l’Église a reçu. Il n’est pas un gourou inventant des dogmes, mais un canal de la Tradition. Et les fidèles ne sont pas des moutons stupides : ils choisissent de croire, libres et éclairés par la grâce.
« Le prêtre abuse de son autorité »
L’autorité vient du Christ, pas des hommes ! Sans elle, plus de sacrements. Plus de messe. Plus de chemin vers le Salut. Rejeter cette autorité, c’est préférer les ténèbres à la lumière. Matthieu confond abus et usage : un couteau peut tuer ou sauver (en mains de chirurgien). Condamner le couteau, c’est absurde. Condamner le sacerdoce à cause de Judas, c’est pire.
Matthieu croit parler de « contrôle ». Il est devenu l’esclave de sa propre vanité, un pantin des ténèbres qui préfère les ovations des foules à l’obéissance silencieuse de la Croix. Son discours n’est pas novateur, c’est la rengaine de tous les apostats, de Judas à Luther. Méfiez-vous de ceux qui quittent le navire pour mieux le saborder : leur « lumière » ne vient pas du Ciel, mais des flammes de l’abîme. Et la nuit est proche.
« Aime, et fais ce que tu veux. Si tu te tais, tais-toi par amour ; si tu parles, parle par amour ; si tu corriges, corrige par amour ; si tu pardonnes, pardonne par amour. Aie au fond du cœur la racine de l’amour, de cette racine ne peut rien sortir que de bon. », disait saint Augustin.
En quittant l’Église, Matthieu a troqué la Croix contre les clics. Il s’est vendu au culte de l’éphémère, préférant les applaudissements d’un monde hostile au Christ à la fidélité silencieuse des saints. Son orgueil le pousse à jouer les révoltés, mais ne vous y trompez pas : il ne brise pas des chaînes, il mord la main qui lui offrait le Pain de Vie. L’Église, elle, tiendra debout comme elle l’a toujours fait. Judas est parti, Pierre est resté. Les apostats passent, la Vérité demeure.
Il clame “s’émanciper”, mais son discours n’est qu’un ravalement des vieilles hérésies. Satan lui souffle la même fable qu’à Ève :
“Tu n’as pas besoin de Dieu pour être libre”.
Résultat ? Hier, il élevait l’hostie ; aujourd’hui, il brandit son ego. Ce n’est pas de la “libération”, c’est de l’esclavage déguisé, une prison de likes où l’âme se dessèche. Méprisez ces faux prophètes qui chantent la révolte ! Le sacerdoce n’est pas un pouvoir à jeter, mais un feu à transmettre. Sans lui, plus d’autel, plus de pardon, plus de Chemin. Matthieu creuse sa tombe spirituelle… en traitant de “contrôle” ce qui fut sa seule chance de salut.
Priez pour Matthieu. Qu’il retrouve l’humilité de se taire, au lieu de déchirer la tunique sans couture du Christ. L’Église continuera, sans lui, portée par la promesse divine :
« Les portes de l’Enfer ne prévaudront pas ».
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Je suis partagé entre douleur, tristesse et colère
Douleur car ce prêtre (il est prêtre et le restera pour l’éternité) se fourvoie gravement, il est en train de se mettre en danger , et il risque d’entraîner d’autres catholiques mal affermis dans sa trajectoire
Tristesse car je pense que cela attriste Dieu qui aime ce prêtre malgré ses péchés et qui n’attend que son retour vers Lui, tristesse aussi car il a certains traits de caractère sympathiques (un certain esprit contemplatif, une certaine empathie)
Colère car ses actes peuvent avoir de terribles conséquences pour des gens qui n’ont pas beaucoup de connaissances en doctrine catholique, et ça met en colère… Par ailleurs il y a une persistances dans certaines erreurs graves, accessibles même à des laïcs peu formés
J’aimerais vraiment voir le père jasseron sorti de la terrible trajectoire ou il se trouve et par ma prière confie ce prêtre à l’intercession de la sainte Vierge Marie et au saint curé d’Ars ainsi qu au padre Pio, que le Seigneur qui voit tout prenne ma prière 🙏🙏🙏