Il est des lieux où l’histoire et la foi s’entrelacent avec une telle force que chaque pierre devient témoin de siècles de dévotion. La Catedral de Canterbury, fondée grâce à l’initiative de San Gregorio Magno qui envoya San Agustín de Canterbury évangéliser les Saxons, en est un exemple vivant. Ici, ce n’est pas seulement le christianisme qui est célébré, mais l’existence même de l’Angleterre, puisque le roi Ethelberto du Kent offrit les terrains pour bâtir la première église qui allait devenir la cathédrale que nous connaissons aujourd’hui. Si le château de Windsor est un symbole du patrimoine britannique, Canterbury l’est avec une intensité encore plus profonde, car elle incarne le cœur de la foi et de l’histoire anglaise, même sous domination anglicane.
Or, ce lieu sacré, joyau de la chrétienté, a récemment été souillé. La page officielle de la cathédrale elle-même a publié les images d’un acte que l’on ne peut qualifier que de blasphème : des grafitis horribles, présentés comme des « œuvres d’art » par les autorités elles-mêmes. Ces marques sont des taches chaotiques, souvent psychédéliques et monstrueuses, réalisées sans aucun effort et portant des messages irrévérencieux : « Es-tu là? », « Pourquoi avoir créé la haine alors que l’amour est tellement plus puissant ? », « Est-ce que tout a une âme ? ». Ces phrases, supposées interpeller Dieu, ne sont que des expressions de curiosité futile, dépourvues de la foi qui a bâti ces murs sacrés.
Les autorités tentent de justifier ces profanations au nom de la « poésie, curiosité et autorité » de soi-disant « communautés marginalisées » ou d’ « artistes talentueux », mais il n’y a ici ni talent, ni dévotion : seulement le mépris des siècles de tradition et la souillure d’un patrimoine spirituel. Comme le soulignent de nombreux fidèles sur le site de la cathédrale, ces actes constituent un sacrilège, une offense à Dieu et à l’héritage des saints qui ont édifié ce lieu pour la gloire du Ciel.
Il est grand temps de dire que le laid est laid, et que l’horrible ne peut jamais se faire passer pour le beau. La civilisation, même dans sa décadence, ne doit pas laisser la laideur envahir l’espace public et effacer la beauté qui élève l’âme. Avant d’accepter de tels abus, il serait juste de demander aux citoyens s’ils préfèrent des horreurs grafitées ou la sublime beauté d’un Fra Angelico, des estampes de Venise ou un tableau de Canaletto. La véritable beauté, celle qui porte l’espérance et la foi, doit être protégée, car elle est le rempart de l’âme contre la corruption et le chaos spirituel.
Nous devons exiger que le respect de la tradition et la dignité du sacré soient maintenus. La cathédrale de Canterbury, comme tout lieu de culte, n’est pas un terrain de jeu pour des modes passagères ni une toile pour des provocations : elle est la maison de Dieu, un sanctuaire où la foi et la beauté chrétienne doivent régner en maître. Que ces murs anciens continuent d’élever nos cœurs vers le Seigneur, loin des taches du diable et des gestes impies qui tentent de les souiller.
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