Bruno Moneroe, ancien candidat de la Nouvelle Star et figure connue de la télé-réalité, dévoile un visage inattendu : celui d’un catholique pratiquant, profondément attaché à ses convictions et à sa foi. Derrière son apparence flamboyante et son parcours médiatique se cache un homme qui, chaque dimanche, se rend à la messe au Sacré-Cœur de Montmartre, se confesse et communie. Un témoignage qui interroge sur la place de la foi dans un milieu souvent éloigné des valeurs traditionnelles.
Un catholique conservateur dans un monde de l’apparence
Bruno Moneroe se dit catholique et conservateur, mais certaines de ses attitudes trahissent un sérieux manque de cohérence avec la morale chrétienne. Afficher des photos torse nu sur Instagram, dans une mise en scène clairement suggestive, va à l’encontre de la pudeur et de la retenue que l’Église enseigne. La foi catholique n’est pas qu’une simple étiquette ou une posture politique, elle exige une cohérence entre les paroles et les actes. On ne peut pas, d’un côté, revendiquer des valeurs traditionnelles et, de l’autre, céder à la culture de l’exposition de soi et de la vanité, même si, d’après lui, cela est fait avec humilité et qu’il faut dissocier l’artiste de l’homme.
Dans cet entretien, il partage également son amour pour la France, ses convictions politiques de droite et sa foi inébranlable en Dieu. Il soutient ouvertement le Rassemblement National, notamment Marine Le Pen et Jordan Bardella, expliquant que ses choix politiques sont guidés par des valeurs chrétiennes et nationalistes. Pour lui, défendre la préférence nationale et l’identité française, c’est protéger les fondements de la société, enracinés dans une histoire et une culture millénaires.
La foi, cœur de sa vie
Pour Bruno, la foi n’est pas un accessoire, mais le pilier central de son existence. Il confie que Dieu et sa mère sont ses seuls vrais amis, et que sa pratique religieuse est une source de force et de réconfort. Malgré les critiques et les jugements qu’il subit en raison de son apparence, il insiste sur le fait que la foi catholique est un chemin d’amour et de vérité.
Il raconte comment les prêtres, lors de ses confessions, sont parfois surpris par son look, mais qu’ils l’accueillent toujours avec bienveillance. Pour Bruno, l’Église catholique est un refuge, un lieu où chacun peut venir tel qu’il est, sans crainte d’être jugé. Il évoque l’exemple de Marie-Madeleine, accueillie par le Christ malgré ses imperfections, pour rappeler que la foi transcende les apparences et les préjugés.
Un message aux jeunes : assumer ses convictions
Bruno Moneroe adresse un message clair aux jeunes qui le suivent :
« Aimez la France, assumez-vous, n’imposez rien. »
Il les encourage à être fiers de leurs origines, de leurs convictions, et à ne pas craindre de les exprimer, même si cela va à contre-courant des tendances dominantes. Il reconnaît que son apparence peut dérouter, mais il rappelle que la foi et les valeurs qu’il porte ne sont pas incompatibles avec une expression artistique ou un style personnel. Pour lui, être catholique, c’est vivre dans l’amour et le respect des autres, sans imposer ses choix, mais en assumant ses convictions avec courage et humilité.
L’Église, lieu de réconciliation
Bruno Moneroe témoigne aussi de la miséricorde de l’Église, qui accueille chacun, quel que soit son passé ou son parcours. Dans un monde marqué par la division et les conflits, la foi catholique offre un chemin de réconciliation et d’unité. En refusant les jugements hâtifs et en prônant le dialogue, elle nous appelle à transcender nos différences pour bâtir une communauté d’amour et de solidarité en toute vérité.
Le témoignage de Bruno Moneroe montre surtout qu’on ne peut pas se contenter de mots quand il s’agit de foi. Être catholique ne se résume pas à une étiquette ou à des déclarations publiques : c’est un engagement profond qui doit se refléter dans toute notre vie, y compris dans notre manière de nous présenter au monde. La foi exige humilité, pudeur et cohérence.
En tout cas, cet article n’a pas pour but de faire la morale, mais simplement d’exprimer un avis en tant que frère en Christ. Car à quoi bon proclamer sa foi si c’est pour en adopter les contre-valeurs dans la vie de tous les jours ? Nous avons tous nos faiblesses, mais il est essentiel de ne pas cautionner ou d’alimenter, cette société qui glorifie l’impudeur et la déchéance crasse.
Aujourd’hui, la décadence ne se limite plus à Internet ou aux médias, elle s’infiltre jusque dans les cours de récréation, façonnant une jeunesse en perte totale de repères. En tant que catholiques, nous avons un devoir de témoignage et de cohérence. Si nous voulons défendre la vraie beauté, celle de la vérité et de la vertu, alors il faut commencer par refuser de suivre les tendances d’un monde qui va à l’encontre de l’ordre naturel voulu par Dieu.
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