Dans une décision qui suscite de vives inquiétudes, le gouvernement britannique pourrait bientôt approuver des essais visant à atténuer artificiellement la lumière du soleil, prétendument pour lutter contre le « réchauffement climatique ». Ces projets, révélés par The Telegraph, soulèvent de graves questions éthiques et sanitaires, rappelant les limites de l’intervention humaine sur l’ordre naturel.
Selon le Pr Mark Symes, directeur de l’agence gouvernementale Aria, ces expérimentations incluraient l’injection de particules dans l’atmosphère ou l’« éclaircissement des nuages » — des techniques regroupées sous le nom de « gestion du rayonnement solaire ». Parmi les méthodes évoquées figure l’épandage de sel marin pour accroître la réflexivité des nuages bas, une pratique risquée dont les conséquences à long terme restent inconnues.
Bien que le professeur Symes affirme qu’aucune substance toxique ne sera utilisée, des sources scientifiques indépendantes évoquent l’étude d’aérosols contenant du sulfate, de l’aluminium métallique, de l’oxyde d’aluminium ou encore du titanate de baryum. Ces composés, rejetés dans la stratosphère, pourraient perturber les précipitations, menaçant les récoltes et l’accès à l’eau potable, comme l’admet le site geoengineering.global.
Des risques sous-estimés pour la santé et la création
Au-delà des impacts climatiques, ces manipulations menacent directement la santé humaine. La réduction de l’ensoleillement entraverait la synthèse de la vitamine D, essentielle pour combattre les infections. Déjà, les populations vivant au nord du 37e parallèle souffrent d’un déficit en lumière solaire durant l’hiver. Un ensoleillement amoindri aggraverait aussi les troubles affectifs saisonniers, liés à une baisse de sérotonine et au dérèglement du rythme circadien.
La science divisée face à l’« urgence climatique »
Contre le discours alarmiste, plus de 1 100 scientifiques internationaux ont signé en 2022 la « Déclaration mondiale sur le climat », niant l’existence d’une « urgence climatique ». Ils rappellent que les variations climatiques font partie de l’histoire naturelle de la Terre et que le réchauffement observé est bien plus lent que les prédictions. Des experts prévoient même un refroidissement de l’hémisphère nord d’ici 2050.
Enfin, aucune preuve tangible ne relie le réchauffement à une augmentation des ouragans, sécheresses ou inondations. Face à ces incertitudes, jouer aux apprentis sorciers avec le soleil apparaît non seulement présomptueux, mais contraire à la sagesse de la Création. Comme le rappelle l’Église, la véritable écologie respecte l’ordre établi par Dieu, sans céder aux utopies technocratiques.
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