La Tunisie, dans sa constitution, pourrait se séparer de l’islam, comme en France avec la loi de séparation, ce qui fût une énorme erreur pour notre pays, mais une volonté de déchristianisation pour ceux qui nous dirigent.
Le Président Kais Saied a pris la parole ce 21 juin pour déclarer que la religion musulmane ne sera plus inscrite comme religion d’État dans la nouvelle constitution Tunisienne qu’il soumettra ce 25 juillet 2022.
Voici ce qu’il a déclaré à des journalistes Tunisiens à l’aéroport de Tunis et rapporté par Cnews :
« Dans la prochaine Constitution de la Tunisie, nous ne parlerons pas d’un État dont la religion est l’islam mais (de l’appartenance de la Tunisie) à une Oumma (nation) dont la religion est l’islam. La Oumma et l’État sont deux choses différentes. »
À lire aussi | L’Osservatore di strada, le nouveau journal du Pape
La société Tunisienne souhaite faire de la place aux autres religions du pays, ce qui est une bonne chose pour notre religion catholique, qui était là avant la conquête arabe. Même si l’islam reste majoritaire, au moins, nos frères pourront évangéliser sans s’exposer à des poursuites judiciaires pour « prosélytisme«
💡🤖 Pour garantir des articles d'actualité à jour, précis et bien sourcés, l'intelligence artificielle est utilisée comme outil d'assistance. Elle contribue à la réécriture, à la vérification des faits et à l'optimisation du contenu.