Cette marche pro-vie a rassemblé plus de 1 000 personnes dans les rues de Tolède, en Espagne, samedi, pour rappeler et défendre publiquement « que la vie est un don de Dieu ».
L’archevêque de Tolède, Mgr Francisco Cerro Chaves, a déclaré aux participants le 2 avril que « cela vaut la peine de consacrer sa vie pour que d’autres puissent avoir la vie et l’avoir en abondance« .
En plus de la marche, plus de 2 200 personnes ont participé au septième festival pour la femme et la vie, qui s’est tenu le même jour à l’école diocésaine Our Lady of Infants.
Les frais d’inscription de chaque participant ont permis de financer le Mater Project, une réponse archidiocésaine aux besoins des mères risquant de se faire avorter et se trouvant dans des situations vulnérables.
Au cours de l’événement, des représentants d’organisations pro-vie ont lu un manifeste affirmant que « l’avortement n’est pas une forme de libération des femmes« , mais plutôt « la plus grande violence contre les femmes et c’est pourquoi nous, les femmes, n’avons jamais été aussi esclaves que nous le sommes maintenant« .
« L’Espagne, en légalisant l’avortement, devient une nation pauvre, un pays qui n’enseigne pas l’amour mais qui impose la violence, détruisant la paix. Nous exigeons que tous les partis politiques se déterminent à défendre les enfants à naître et ne permettent en aucun cas le rejet d’un enfant« , indique le manifeste.
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Le manifeste appelle également à « affronter la culture de la mort, qui apporte violence, confusion et mensonges à la société, aux familles, aux femmes et aux hommes ; aux situations désespérées. » Les organisations pro-vie ont également appelé à la responsabilité et à l’engagement pour la défense de la vie.
L’événement s’est conclu par une messe à la paroisse Saint Julian of Toledo, célébrée par le vicaire épiscopal pour les laïcs, la famille et la vie, le père Enrique del Álamo, qui a donné sa bénédiction aux futures mères présentes.
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