Euthanasie : La république accélère sa politique meurtrière
L'euthanasie est dorénavant sur les lèvres de toutes les bouches politiques de la république et il ne fait aucun doute que cette loi passera sans aucun problème, ni aucune opposition.
Le gouvernement Macron a fait inscrire récemment, symboliquement, l’avortement dans la Constitution, cette liberté était pourtant déjà garantie depuis très longtemps. Cela lui sert à faire en sorte que, dans un futur proche, le fait de s’y opposer soit criminalisé. À présent, il souhaite instituer l’aide à mourir pour les personnes handicapées.
C'est ce qu'il a annoncé ce 10 mars dans les médias concernant son futur projet de loi qui vise à ouvrir la possibilité de demander "une aide à mourir" sous certaines conditions strictes. Il sera présenté en avril en Conseil des ministres, suivi d’une première lecture à l’Assemblée nationale en mai
« Le terme que nous avons retenu est celui d'aide à mourir parce qu'il est simple et humain et qu'il définit bien ce dont il s'agit »
Ce terme utilisé pour éviter aux personnes de réfléchir un peu trop, de se rendre compte, que ce qu'il est proposé ici, n'est pas quelque de sain, si nous disons que c'est un suicide ou un meurtre, les gens pourront comprendre le but de Macron, de son gouvernement et de sa république. C'est pour cette raison que je demande aux catholiques de ne jamais appeler ça, une aide à mourir, mais un suicide ou un meurtre.
Même dans le cas de "l'aide au suicide", ça reste un meurtre de la république, elle souhaite se débarrasser des "parasites", ces mêmes êtres humains qui sont éliminés à 72 % dans le ventre des mères, car ils sont handicapés. Ce sont des sacrifices humains, nous revenons au temps du paganisme, ce n'est très clairement pas une évolution, mais bien une révolution sur tous les progrès et les conquêtes catholiques au sujet de la culture de la vie en occident.
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Déchristianiser, conditionnement, athéisme, abrutissement de masse, ça permet ainsi au peuple d'accepter toutes ces mesures inhumaines et infâmes.
Le Président de la république nous dit encore que cela se fera dans un cadre strict et sous des conditions très précises. Nous savons, lui comme nous, que c’est de la poudre de perlimpinpin et que ce cadre, dans cinq ans, s’étendra. Il sera bientôt possible d’assassiner n’importe quel vieux qui n’est plus autonome et qui coûte un “pognon de dingue” à la société.
Ce gouvernement technocrate, sous la direction de cabinets de conseillers, a probablement constaté qu’il était avantageux pour son image de se présenter comme le président qui défend et accorde des droits aux personnes souffrantes. De facto, les sondages ont dû confirmer cette tendance, et il met tout en œuvre pour poursuivre dans cette voie et accroître sa popularité auprès des citoyens français qui ne voient pas le mal sous leur propre nez ainsi que l'abomination de ces lois.
Au cours de ses deux mille ans d’histoire, l’Église catholique a toujours affirmé que la vie humaine doit être défendue depuis la conception jusqu’à la mort naturelle. Ainsi, selon le Catéchisme de l’Église catholique, « L’euthanasie intentionnelle, quels qu’en soient les formes ou les motifs, est un meurtre. C’est gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect dû au Dieu vivant, son Créateur » (CEC 2324)