La rage des transgenres découle de la propagande
Les personnes qui s'identifient comme transgenres sont de plus en plus violentes, car l'idéologie du gender woke est de plus en plus imposée à la population.
Dans le rapport approfondi de ce soir, Nick Wylie, de Church Militant, parle des troubles civils qui se développent parmi ces malades mentaux.
Andrea Segovia, Transgender Education Network of Texas : "Je m'inquiète de la façon dont l'opposition et les personnes anti-trans vont essayer de tourner cela."
Lundi, à Nashville, dans le Tennessee, Audrey Hale, un homme de 28 ans qui s'identifie comme une femme trans, a assassiné trois enfants et trois adultes dans une école chrétienne qu'elle fréquentait auparavant.
Audrey Hale est devenue la quatrième personne niant son sexe biologique à commettre une fusillade de masse aux États-Unis. Cet acte odieux survient quelques jours avant la journée de vengeance des transgenres, prévue le 1er avril.
Tucker Carlson, Tucker Carlson Tonight :
"Faites peur à vos électeurs ; dites-leur que leur vie est en danger ; encouragez-les à se procurer des armes. Comment pensez-vous que cela se termine ?"
Les personnes sexuellement désorientées sont devenues de plus en plus violentes à mesure qu'elles ont été nourries d'une propagande selon laquelle d'autres personnes leur voulaient du mal.
Selon un groupe appelé Trans Resistance Network, "la vie des personnes transgenres est très difficile - et elle l'est devenue encore plus au cours des derniers mois en raison d'une avalanche virtuelle de lois anti-trans et d'appels publics lancés par des personnalités de droite et des figures politiques en faveur de rien de moins que l'éradication génocidaire des personnes transgenres de la société".
Kai Shappley, garçon confus dans son genre :
"Cela me rend triste que certains politiciens utilisent des enfants transgenres comme moi pour obtenir des votes de la part de personnes qui me détestent simplement parce que j'existe."
Pendant ce temps, les législateurs et les professionnels de la santé continuent d'endoctriner les malades mentaux en leur faisant croire qu'ils sont opprimés.
Le président Joe Biden :
"Les enfants transgenres, c'est vraiment très difficile. Ce qui se passe en Floride est, comme dirait ma mère, proche du péché. Je veux dire, c'est tout simplement terrible ce qu'ils font".
Le mois dernier, la National Public Radio a même diffusé une émission sur les transgenres qui "s'entraînaient à tirer pour se défendre contre les groupes haineux".
Tucker Carlson, Tucker Carlson Tonight :
"Voici cette même Radio publique nationale, radio d'État, média d'État, contrôlée par l'administration Biden, qui encourage les gens à se rendre immédiatement au magasin d'armes à feu - mais pas tous les gens, seulement les transgenres. Les armes sont mauvaises, sauf dans les mains des transgenres".
En novembre dernier, le journaliste Pedro Gonzalez a publié un rapport intitulé "The Transgender Leviathan", qui expose l'histoire, la politique et l'argent qui se cachent derrière le mouvement transgenre.
Dr Scott French, médecin urgentiste :
"Ces traitements nuisent aux gens. Non seulement ils augmentent le risque de suicide, mais ils deviennent stériles. Les bloqueurs de puberté ont des effets permanents. Les hormones féminines ont un effet néfaste sur les hommes. Les hormones masculines ont un effet néfaste sur les femmes".
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L'idéologie du genre défendue par les politiciens et les professionnels de la santé a plusieurs motivations, mais toutes aboutissent à une communauté de plus en plus hostile et souffrant de troubles mentaux.
Une étude canadienne sur les détenus transgenres a révélé que les femmes dites transgenres (c'est-à-dire les hommes) étaient deux fois plus susceptibles, par rapport aux hommes normaux, d'être emprisonnées pour des crimes liés à l'homicide.
Cet article a été publié originellement par Churchmilitant (Lien de l’article).
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