Dans un geste aussi provocateur que méprisant, le gouvernement canadien a publié le 22 juin une image détournée de son propre drapeau national, repeint aux couleurs de l’idéologie LGBT. L’intention affichée ? Célébrer ce qu’ils appellent « la diversité » lors de la journée dite #BeingYouDay. Sauf qu’à force de vouloir flatter tous les délires identitaires modernes, on en vient à bafouer les règles les plus élémentaires du respect patriotique.
Sur le réseau social X, la page officielle du gouvernement canadien a posté cette image, accompagnée d’un commentaire tout droit sorti du catéchisme progressiste :
« Au Canada, nous savons que la diversité est notre force et nous aimons la célébrer ! En cette journée BeingYouDay, souvenez-vous d’être pleinement vous-même et de fêter tout ce qui fait votre singularité. »

Ce discours, répété jusqu’à l’écoeurement dans tous les pays occidentaux sous emprise idéologique, a immédiatement suscité la colère de nombreux Canadiens attachés à leur nation, leur drapeau, et leur histoire.
Et cette fois, même les règlements officiels ont été piétinés. Car il ne s’agit pas que d’un débat d’opinion : la publication viole noir sur blanc les consignes du gouvernement lui-même. Le site officiel stipule clairement que le drapeau canadien ne doit en aucun cas être modifié, écrit ou recouvert.
Le texte est limpide :
« Le drapeau national ne doit pas être modifié » et « ne doit pas être écrit ou marqué de quelque façon que ce soit, ni être couvert par d’autres objets. »
La sanction ne s’est pas fait attendre : une community note – un correctif ajouté par les internautes eux-mêmes pour pointer les fausses informations ou abus – est venue rappeler cette évidence, ce qui a mis le gouvernement dans une posture embarrassante.
Sous la publication, les réactions ont afflué. Des milliers de commentaires ont dénoncé l’acte comme un manque de respect, un effacement de l’identité canadienne. « Ce n’est pas mon drapeau », ont affirmé plusieurs internautes. D’autres ont souligné l’absurdité de prêcher l’unité en promouvant des symboles qui divisent profondément.
Un internaute a résumé le malaise général :
« La diversité n’est pas une force. Passé un certain seuil, elle devient une source de fracture sociale. Peut-on penser à tous les citoyens, et pas seulement à certaines minorités idéologiques ? »
Un autre, avec ironie mordante, a comparé cette propagande à celle des débuts de l’URSS, où les slogans d’amour et d’égalité servaient de façade à une déconstruction culturelle planifiée. On voit bien que le marxisme a simplement changé de drapeau.
Comme souvent, une minorité a salué l’image comme « une célébration de l’amour ». Un certain Andrew Reinsma s’est réjoui de ce qu’il interprète comme un message d’acceptation, déclarant que « l’amour est amour » et que « les amis resteront toujours les amis ». Des propos lisses, consensuels, et bien pratiques pour ignorer la violence symbolique d’un tel acte envers tous ceux qui refusent cette idéologie imposée.
Un autre commentaire célébrait carrément « une célébration de lumière »… quand en réalité, il s’agissait d’un étouffement de l’identité nationale sous un vernis arc-en-ciel.
Ce que nous vivons, c’est ni plus ni moins qu’un renversement des repères. On ne célèbre plus ce qui nous unit, mais ce qui nous divise. On ne rend plus hommage aux héros, mais aux identités revendicatrices. Et le drapeau – ce symbole de l’unité nationale, du sacrifice, de la mémoire collective – devient un simple support de communication pour les lubies idéologiques d’un jour.
Ce qu’a fait le gouvernement canadien n’est pas une maladresse. C’est un choix. C’est l’illustration d’un pouvoir qui ne se cache même plus de vouloir rééduquer les esprits à coup de symboles détournés. C’est une insulte pour ceux qui aiment encore leur pays, leur foi, et la vérité.
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