Les auteurs du « rapport Sauvé sur les abus sexuels » n’ont pu contacter directement que 243 « victimes » non vérifiées et 2 819 autres par lettre (total : 3062).
Néanmoins, le rapport affirme qu’il y a eu 215 000 (70 fois plus) « victimes » françaises d’abus cléricaux.
La pseudo-recherche s’est déroulée en deux étapes. Tout d’abord, l’institut de sondage étatique Ifop, connu pour son inexactitude, et qui vend des sondages aux entreprises et aux partis politiques, a réalisé une enquête vague.
Ensuite, Nathalie Bajos, une « chercheuse » de l’Inserm (Institut national français de la santé et de la recherche médicale), a transformé les données en un « rapport ».
Bajos, sociologue de gauche et militante, dirige « l’équipe dédiée aux questions de genre » de l’Ifop et a publié des torchons propagandistes tels que « La contraception : levier réel ou symbolique de la domination masculine ? » ; « Les inégalités sociales d’accès à la contraception en France » ; « Les enjeux contemporains de la légalisation de l’avortement » ; ou encore « Les femmes sont-elles encore libres de choisir leur contraception ? ».
Medias-Press.info (13 octobre) qualifie le rapport Sauvé d' »enfant malade d’un ennemi du catholicisme ».
Dans une vidéo diffusée sur Canal-U.tv, Bajos explique que les parents ne doivent pas s’inquiéter du fait que leurs enfants regardent du porno, car il est temps qu’ils cessent de s’impliquer dans la « sexualité » de leurs petits. »