Après neuf années au pouvoir, le Premier ministre canadien Justin Trudeau laisse derrière lui un bilan profondément opposé aux enseignements fondamentaux de l’Église catholique. Ses politiques, notamment sur l’avortement, l’euthanasie et la gestion de la controverse des pensionnats pour autochtones, ont suscité de vives critiques parmi les responsables ecclésiaux du pays.
Durant son mandat, Trudeau a activement promu des causes en contradiction directe avec la dignité de la vie humaine. Son soutien fervent à l’avortement et à l’euthanasie a positionné le Canada comme un chef mondial de ce que beaucoup considèrent comme une « culture de mort« .
En 2016, sous sa gouvernance, le Parlement canadien a adopté la Loi sur l’aide médicale à mourir (MAID), autorisant l’euthanasie. Malgré les avertissements des évêques canadiens, comme Mgr Richard Gagnon, qui dénonçait une vision erronée de la souffrance humaine, Trudeau a élargi cette pratique. D’ici 2023, un décès sur 20 au Canada était dû à l’aide médicale à mourir, un chiffre effrayant pour un pays autrefois fondé sur des valeurs chrétiennes solides.
Trudeau s’est également fait le champion des droits à l’avortement, déclarant que chaque femme devait pouvoir « décider de son corps et de son avenir« . Non content de maintenir ce qu’il appelle un « droit acquis« , il a ciblé les centres de grossesse qui offrent des alternatives pro-vie, cherchant à leur retirer leur statut fiscal.
De plus, il n’a pas hésité à critiquer les efforts pro-vie dans d’autres pays, notamment aux États-Unis après la chute de Roe v. Wade. Cette ingérence, qualifiée d’impérialisme culturel par certains évêques, reflète un mépris pour les valeurs catholiques que Trudeau prétend pourtant partager en tant que « catholique pratiquant« .
L’un des épisodes les plus marquants du mandat de Trudeau reste la gestion de l’affaire des prétendues fosses communes dans les anciens pensionnats pour autochtones, majoritairement gérés par l’Église catholique. En 2021, l’annonce de la découverte de plus de 200 tombes anonymes en Colombie-Britannique a déclenché une vague d’indignation et de violence.
Sans preuves tangibles, Trudeau a publiquement critiqué l’Église et exigé des excuses du Pape François sur le sol canadien. Cette accusation a alimenté un climat de haine anti-catholique, entraînant la destruction ou la profanation de plus de 120 églises à travers le pays.
Malgré des fouilles approfondies, aucune preuve de ces fosses communes n’a été découverte, ce qui laisse un goût amer d’injustice pour les catholiques canadiens. Comme l’a souligné feu Mgr Fred Henry, ancien évêque de Calgary, cette campagne de désinformation n’a fait qu’aggraver les divisions sans améliorer les conditions de vie des peuples autochtones.
Alors que Trudeau s’apprête à quitter son poste de chef du Parti libéral, il laisse un héritage lourd de conséquences pour l’Église et les croyants canadiens. Son bilan démontre comment une gouvernance peut s’écarter des valeurs chrétiennes fondamentales, au prix de la vérité et de la dignité humaine.
Face à ce sombre chapitre de l’histoire canadienne, les fidèles sont appelés à redoubler de prière et de témoignage pour défendre la foi catholique et ses principes immuables.
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