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Scandale à Livraga : Un Prêtre et un Spectacle de Drag Queen dans un Cimetière

Récemment, un scandale a éclaté dans la petite ville italienne de Livraga, impliquant le père Pierre Diacomo Gazzola et un spectacle de drag queen organisé dans un lieu sacré.

Le spectacle, dirigé par Francesco Esposito, alias la drag queen Tashi Pierina, a eu lieu dans un cimetière, ce qui a provoqué une vague d'indignation parmi certains membres de la communauté catholique.

Le Scandale Dévoilé

Le 30 août 2024, une représentation de transformisme a eu lieu à l'ombre d'une église, et même dans le cimetière de Livraga. Le père Pierre Diacomo Gazzola, curé de la paroisse depuis 2016, a soutenu cet événement controversé, qui a été qualifié de "spectacle inclusif" par ses organisateurs. Le spectacle était présenté par Tashi Pierina, qui a exprimé sa gratitude envers le prêtre sur ses réseaux sociaux, soulignant le soutien du curé pour ce type d'événement et sa lutte contre la discrimination.

Les photos de l'événement montrent des drag queens en pleine performance dans un cadre inhabituel pour ce type de spectacle. Bien que le spectacle ait été décrit comme un événement "propre" et "calme" par le prêtre et les organisateurs, il a suscité une vive polémique.

Réactions et Controverse

Pour certains, la tenue de ce spectacle dans un cimetière est perçue comme une profanation de lieu sacré. La présence de drag queens, souvent associée à des performances de transformisme, est vue par beaucoup comme incompatible avec le respect dû aux lieux de sépulture. L'événement a été décrit comme une tentative de "souiller" ce qui est considéré comme sacré par les croyants.

Le père Gazzola, pour sa part, a défendu l'événement en affirmant qu'il n'y voyait rien de répréhensible. Il a affirmé que l'objectif était de promouvoir l'inclusion et de rester fidèle aux valeurs chrétiennes de respect et d'amour. Selon lui, la communauté doit être accueillante et ouverte à la diversité, même si cela signifie organiser des événements non traditionnels dans des lieux sacrés.

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Cette affaire illustre le danger croissant des dérives modernistes au sein de l'Église catholique. La décision de permettre un spectacle de drag queens dans un cimetière est non seulement une atteinte au respect dû à des lieux sacrés, mais aussi une violation flagrante des valeurs chrétiennes traditionnelles. Les défenseurs de ce genre d'événements justifient leur position en invoquant une prétendue nécessité d'inclusion et de diversité, arguant que les lieux religieux doivent évoluer avec leur temps.

Cependant, il est crucial de se rappeler que cette "modernisation" n'est rien d'autre qu'une déviation des principes fondamentaux de la foi. L'intégration de spectacles profanes dans des espaces sacrés, comme les cimetières, est un affront à la dignité chrétienne et à la sacralité des lieux de culte. Ce scandale à Livraga est un exemple frappant de la manière dont les idéologies modernes cherchent à souiller ce qui est sacré, en substituant le respect par une fausse notion d'ouverture.

Il est impératif que l'Église reste ferme dans sa défense des traditions et des espaces sacrés, refusant d'abandonner ses principes fondamentaux au nom d'une modernité mal comprise. Ce débat met en évidence les tensions entre une volonté d'adaptation à des normes contemporaines souvent déconnectées de la foi, et le maintien d'une orthodoxie qui préserve la dignité et le respect de ce qui est saint.

Napo
Napo

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