Par des textes sans intérêts le futur délit à l’identité sexuelle se met en place petit à petit en République de France, comme pour tout ce qu’elle a fait depuis la révolution, IVG, mariage pour tous, adoption pour tous.
À chaque fois, on annonce une mesure pour un petit truc sans intérêt, afin d’imposer l’idéologie contre nature et anti dieu en douceur avec un peu de vaseline. Sauf qu’après 4/5 ans, on se retrouve avec un bras en moins et nos yeux pour pleurer.
À quand un délit sur la Dieuphobie ? Qui est, j’ose le dire, Roi de France.
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Après le délit d’entrave à l’IVG, on risquait de s’ennuyer : viendra bientôt un délit d’entrave à l’identité sexuelle. Il devient interdit d’informer, d’accompagner, pire encore de soigner une personne qui s’interrogerait sur son identité sexuelle. Sous prétexte d’une plus grande liberté, accroissons encore un peu la confusion des mineurs. Professionnel de la santé ou parent, attention dorénavant à vos propos qui pourraient vous coûter cher.
Le 5 octobre, une proposition de loi interdisant les « thérapies de conversion » a été adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale. Le texte prévoit de sanctionner d’une peine de deux ans d’emprisonnement assortis de 30 000 euros d’amende « les pratiques, les comportements ou les propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, vraie ou supposée, d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale ». Si la victime est mineure, la peine monte à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.
Pendant les débats à l’Assemblée nationale, Laurence Vanceunebrock (LREM), rapporteur de la loi, a justifié la nécessité du texte par l’existence de pratiques telles que des « exorcismes, retraites, stages de guérison, séances d’humiliation, hypnose, traitements par électrochocs, prescriptions d’anxiolytiques, d’antidépresseurs, injections d’hormones, ou encore mariages forcés, séquestrations, privations de nourriture, coups et violences, viols, et même excision ».
Comment mettre sur le même plan une retraite et un mariage forcé, ou bien une prescription d’anxiolytiques et une séquestration ? Sans compter que la plupart des actes cités sont déjà réprimés par le Code pénal. Ensuite, l’intitulé du nouveau délit est tellement flou qu’il ne répond pas aux critères de la loi pénale, voulant qu’une peine précise soit infligée en réponse à un délit clairement défini.
En réalité, sous couvert de lutte contre l’homophobie, le gouvernement institue la théorie du genre dans le droit français. Cela par un texte dangereux à double titre, dont les premières victimes seront les enfants. […]
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