À l’heure où l’invasion migratoire déstabilise profondément nos sociétés, l’Institut Catholique de Toulouse (ICT) choisit de lancer, dès novembre, un nouveau diplôme universitaire intitulé « Migrations et Exil« . Ce programme, qui s’adresse autant aux juristes qu’aux travailleurs sociaux ou militants d’associations, vise à former des « experts » du droit d’asile et de la protection des réfugiés. Une initiative qui, sous couvert de justice et de charité chrétienne, renforce en réalité la machine migratoire à l’œuvre dans notre pays, trahissant ainsi les racines chrétiennes de la France.
En 2023, 7 500 demandes d’asile ont été enregistrées en Occitanie, dont 3 400 pour la seule Haute-Garonne. Ces chiffres, loin de baisser, témoignent d’une pression migratoire croissante qui fait craquer nos infrastructures, fragilise nos institutions et altère la cohésion nationale. Et pourtant, au lieu de se positionner en défenseur des valeurs chrétiennes, l’Institut Catholique de Toulouse propose une formation dédiée à l’accueil et à la facilitation de cette migration invasive.
Une formation au service de l’idéologie mondialiste
Dirigée par Enguerrand Serrurier, juge-assesseur à la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) et maître de conférences à l’ICT, cette formation allie psychologie et droit, sous le prétexte fallacieux que le droit d’asile s’appuierait sur des bases humanistes et internationales, notamment la Convention de Genève de 1951. Mais il ne s’agit pas là d’un simple enseignement juridique : il s’agit d’une véritable promotion de l’idéologie mondialiste, qui, sous couvert de générosité et de solidarité, pousse à ouvrir toujours plus les frontières, sans se soucier des conséquences dramatiques pour la nation française.
La « territorialisation » de la CNDA, institution jusqu’alors centralisée à Montreuil (Seine-Saint-Denis), renforce cette dynamique. En décentralisant l’examen des demandes d’asile dans des villes comme Toulouse, Bordeaux ou Lyon, l’État cherche à multiplier les acteurs locaux formés à cette « protection des réfugiés« , tout en augmentant le nombre de professionnels prêts à accueillir toujours plus de migrants. Le résultat ? Une France toujours plus fragmentée et une identité nationale en péril.
La trahison des valeurs chrétiennes
En soutenant ce diplôme, l’Institut Catholique de Toulouse se détourne de sa mission première : défendre les valeurs chrétiennes. La charité ne consiste pas à favoriser l’invasion migratoire sous couvert de compassion, mais à préserver l’équilibre de la nation, à défendre la patrie, et à aider véritablement les plus nécessiteux, de manière juste et ordonnée. L’Église a toujours enseigné le bien commun, et cela implique aussi la défense des frontières et la préservation de l’unité nationale. Une formation pro-migrants, à l’heure où la France souffre d’une telle crise identitaire, est une trahison des principes fondamentaux de l’Église catholique.
Ce diplôme universitaire sur les migrations et l’exil apparaît comme une manœuvre pour préparer une nouvelle génération de militants et juristes acquis à la cause de l’immigration massive. Alors que nos infrastructures sont déjà surchargées, que nos valeurs sont constamment attaquées, promouvoir une telle formation, dans un institut qui se revendique catholique, est une véritable aberration. Nous ne pouvons que regretter que cet enseignement contribue à la dissolution de notre identité nationale et chrétienne.