L’avortement est un holocauste silencieux et il ne faut pas oublier que c’est la première cause de mortalité dans le monde.
Ni les guerres, ni les pestes – et encore moins les covidés – ni les maladies courantes : la première cause de mortalité dans le monde est délibérée, un type d’homicide qui a lieu en catimini, mais au sein de nos sociétés et de manière tout à fait légale et « respectable » : l’avortement provoqué.
L’année dernière, plus de 44,6 millions d’avortements ont été pratiqués dans le monde, selon le Worldometer, une source non partisane qui suit et évalue des statistiques en temps réel sur un large éventail de sujets, en s’appuyant sur des données provenant de sources telles que les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds monétaire international (FMI) et d’autres.
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Ce total est supérieur au nombre de décès attribués aux sept causes de décès suivantes (maladies transmissibles, cancer, tabagisme, consommation d’alcool, VIH/sida, accidents de la route et suicide) additionnées.
« Le Worldometer évalue le nombre total de décès en 2023 à plus de 60,6 millions, note le Christian Post, mais ce chiffre ne tient pas compte de l’avortement comme forme de décès. Si les avortements étaient comptabilisés comme des décès dans les statistiques, les décès de l’année dernière auraient dépassé les 100 millions, et les avortements auraient représenté plus de 40 % d’entre eux.«
Cet article a été initialement publié par Info Vaticana puis traduit par LeCatho | Lien original.
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