L’islam prive Dieu, car le fondement de la foi chrétienne est que Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, est mort sur la croix pour ôter le péché du monde et, le troisième jour, est ressuscité des morts, vainquant ainsi le péché et la mort. La Résurrection était un événement surnaturel, qui ne peut être prouvé historiquement. Il est vrai, cependant, qu’il existe diverses indications qui corroborent ce fait, et d’ailleurs aucune théorie n’a pu prouver qu’il ne s’est pas produit.
Crédo de l’Eglise Catholique :
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre ; et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers, le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où il viendra juger les vivants et les morts. Je crois en l’Esprit-Saint, à la sainte Eglise Catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle.
Amen. »
La mort sur la croix de Jésus-Christ, est un événement historique, avéré et certain. Aujourd’hui, il n’y a pas d’historien sérieux du Nouveau Testament qui nie la mort sur la croix de Jésus-Christ. Pourtant, les musulmans considèrent que ce fait ne s’est pas produit. Ils, contredisant cette preuve historique, soutiennent que Jésus-Christ n’est pas mort sur la croix, mais a été remplacé par une autre personne :
Sourate 4:157 :
et à cause leur parole: « Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager de Dieu »… Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié; mais ce n’était qu’un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l’incertitude: ils n’en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l’ont certainement pas tué.
Les preuves historiques non Chrétiennes
Tout d’abord, il y a les sources historiques chrétiennes et non chrétiennes sur la mort de Jésus-Christ. Les chrétiens ont évidemment les livres du Nouveau Testament, tous écrits au premier siècle (donc les plus anciens) et tous écrits par des personnes qui ont vécu avec Jésus, qui par la suite ont propagé l’Évangile et ont finalement décidé de mettre le nom du Christ avant leurs propres vies : ils ont en effet décidé de mourir en martyrs pour ne pas renier le nom du Messie. Je me réfère aux auteurs du Nouveau Testament qui sont morts en martyrs : Marc, Matthieu, Paul de Tarse, Pierre, Jacques.
Ensuite, il y a les sources historiques non chrétiennes :
Néron et la persécution des Chrétiens d’après Tacite, Annales, XV, 44 :
Français : « Mais ni les ressources humaines, ni les libéralités de l’empereur ou les cérémonies expiatoires ne faisaient diminuer la rumeur infamante : on croyait encore que l’incendie avait été commandé. Aussi pour couper court à ces rumeurs, Néron se trouva des coupables et il infligea des châtiments raffinés à des gens que leurs scandales rendaient odieux et que la masse appelait Chrétiens. Ce nom leur vient de Christ que le procureur Pontius Pilatus avait fait supplicier sous le règne de Tibère. Contenue pour un temps, cette superstition pernicieuse perçait à nouveau, non seulement en Judée, où ce mal avait pris naissance, mais à Rome même où tout ce qu’il y a partout d’affreux et de honteux afflue et trouve des gens pour l’accueillir. Donc on prit d’abord à partie les gens qui se manifestaient ; ensuite, sur leurs indications, une foule immense fut trouvée coupable moins du crime d’incendie que de haine contre le genre humain. Et tandis qu’on les faisait périr, on se fit un jeu de les couvrir de peaux de bêtes et de les faire mordre à mort par des chiens ou bien de les mettre en croix et à la tombée du jour de les brûler en les faisant servir de torches. Néron avait offert ses jardins pour ce spectacle et il donnait des jeux de cirque, se mêlant au peuple en habit de cocher ou debout sur son char. Dès lors, bien que ces gens fussent coupables et dignes des dernières rigueurs, on les prenait en pitié car on se disait que ce n’était pas en raison de l’intérêt public, mais pour la cruauté d’un homme qu’ils étaient massacrés. »
Tacite, même s’il les méprise, décrit les chrétiens et confirme ce qui est écrit dans les évangiles : Jésus-Christ, vécut sous l’empire de Tibère (qui régna de 14 à 37 après JC) et lui fut imposé l’extrême condamnation (crucifixion) par Ponce Pilate.
Nous pouvons également lire dans le passage de Josèphe, qu’un sage nommé Jésus, fût condamné à être crucifié et à mourir écrit au 1er siècle :
Antiquités juives dans le passage intitulé Testimonium Flavianum, Josèphe décrit la crucifixion de Jésus et même sa Résurrection :
« À cette époque vivait un sage nommé Jésus. Sa conduite était bonne et il était renommé pour sa vertu. Nombreux furent ceux qui, parmi les Juifs et les autres nations, devinrent ses disciples. Pilate le condamna à être crucifié et à mourir. » Ce passage, écrit à la fin du Ier siècle par Flavius Josèphe dans ses Antiquités Juives, est le plus ancien témoignage de l’existence de Jésus. »
le Talmud de Babylone (Sanhédrin 43a), un recueil d’écrits rabbiniques juifs :
« À la veille de la Pâque, Yeshu a été suspendu. Pendant quarante jours avant l’exécution, un héraut… s’écria : « Il est sur le point d’être lapidé parce qu’il a pratiqué la sorcellerie et a conduit Israël à l’apostasie. »
Ce passage prouve l’existence de Jésus-Christ, ça démontre qu’il permettait l’apostasie du judaïsme, car ces paroles étaient contraires à celle des pharisiens, de ce fait, beaucoup se sont convertie au Christianisme et sont devenu ses disciples. La sorcellerie prouve également les miracles fait de la main de Jésus-Christ.
Le livre La mort de Peregrino, Luciano di Samostata (120-180 après JC) :
« après avoir abandonné les dieux grecs, ayant transgressé tout d’un coup, et adorant ce même sophiste qui a été crucifié et vit selon ses lois. Ils méprisent donc tout bien indistinctement et le considèrent comme commun, suivant ces coutumes sans aucune preuve précise. Alors si quelque charlatan et escroc vient à eux, capable d’exploiter les circonstances, il peut tout de suite devenir très riche en se moquant de ces hommes insensés »
Luciano di Samostata, en critiquant notre religion, confirme que le Christ « a été crucifié en Palestine pour avoir donné vie à cette nouvelle religion ».
La négation de la mort de Jésus-Christ sur la croix n’est pas seulement la négation d’un fait historique. C’est la négation de notre civilisation, qui se fonde sur cet acte de pardon, d’humilité et d’amour, et c’est même la négation de l’âge du Christ.
Ici, il est historiquement démontré que Jésus-Christ qui est mort sur la croix est un fait historique. Les fausses thèses qui prétendent le contraire pourraient provenir des évangiles gnostiques qui ont circulé aux deuxième et troisième siècles de l’ère chrétienne. Mais aucun de ces gnostiques n’était prêt à mourir pour ces thèses.
Tandis que les apôtres du premier siècle, qui avaient vécu avec Jésus-Christ et l’avaient connu personnellement, témoignaient de sa mort et de sa résurrection avec le martyre, aucun intérêt d’aller mourir s’ils n’avaient pas étaient témoins directs de la crucifixion, de la résurrection et des miracles de Dieu fait chair.
Les musulmans disent :
Aucune personne n’a composé le Coran. Le Coran a été descendu sur Muhammad ﷺ par Dieu le Tout Puissant (Allah), par l’intermédiaire de l’Ange Gabriel (Jibril en arabe), puis Il l’a mémorisé et l’a enseigné à son tour oralement à ses Compagnons.
Cela veut tout simplement dire, que Dieu, dans le Coran, ne connaît même pas la crucifixion de Lui-même sur la Croix, il y a des témoins non chrétiens, des témoins chrétiens qui attestent ces faits-là, mais également des scientifiques depuis 2000 ans avec le linge mortuaire de Jésus Christ.
Une preuve de poids, le Linceul de Turin :
Le Saint-Suaire faux? « Une chance sur 200 milliards » selon un mathématicien toulonnais Qu’en est-il de ses propriétés holographiques et comment un tel phénomène est-il possible? Aucun cadavre n’a sa photo souvenir dans un tombeau! Les scientifiques ont passé plus de 500.000 heures de travail dessus. Il ne reste que deux énigmes. Comment cette image s’est-elle imprimée? L’autre, est ce qu’on appelle l’IRSC (Impression – Retrait Sans Contact). Comment le cadavre est-il sorti du linge puisqu’il n’y a aucune trace de putréfaction et aucune trace non plus d’arrachement des fibrilles de lin et des fibrines de sang. Les caillots de sang sont intacts et lisses! La science est obligée de parler de dématérialisation du corps, ce qui est quelque chose de totalement inconnu avec les connaissances actuelles. Concernant l’image, l’hypothèse la plus probable serait un phénomène luminescent du type laser. Seule méthode qui permet de satisfaire toutes les propriétés contraignantes du Linceul. Et le remarquable travail sur l’holographie de Petrus Soons prouve que, non seulement le secret du Linceul résiste à la science moderne, mais que plus nos connaissances scientifiques avancent et plus le Linceul dévoile d’autres caractéristiques extraordinaires que nous n’étions pas encore en capacité de connaître! A noter qu’aucune des tentatives pour reproduire un faux linceul n’est satisfaisante. Le Saint-Suaire n’incarne-t-il pas avant tout ce que l’on veut y voir – foi, espérance… – et peu importe qu’il soit authentiquement lié au Christ ou pas? En calcul de probabilité, quand on dit le mot « et », on multiplie les probabilités entre elles. Ici, nous avons un homme de type juif, et entre 30 et 35 ans, et qui a reçu des coups de bâton, et une flagellation intense, et un casque d’épines – détail très particulier qui n’est pas un supplice de la loi romaine -, et qui a porté sa croix, et qui a été crucifié, et qui a reçu un coup post-mortem au côté droit, etc. Avec tous ces détails, le directeur du centre international Bruno Barberis a montré par le calcul qu’il y avait 1 chance sur 200 milliards que la personne sur le Linceul ne soit pas le Christ. Pourquoi? Parce que c’est le seul personnage historique que l’on connaisse qui a subi tous ces supplices en même temps. Avec ça, le jugement rendu par le Symposium de Rome en 1993 n’est pas étonnant. Ce « tribunal scientifique » composé d’une soixantaine de scientifiques a déclaré le Linceul authentique à l’unanimité, dans le sens suivant: le Linceul de Turin « ne peut pas » ne pas être celui du Christ, personnage historique du 1er siècle. Malgré les détériorations du temps, préconisez-vous de nouvelles études, et si oui, avec quelles méthodes? Bien sûr qu’il faut continuer. C’est exactement comme une scène de crime. Il faut faire toute la lumière sur ce qui s’est passé. Ce serait bien aussi de refaire la datation au carbone 14 à différents endroits du Linceul, ce qui permettrait de comparer les résultats entre eux. Tout en se rappelant aussi qu’il ne s’agit que d’un test de laboratoire à mettre en rapport avec les autres résultats de datations et que cela ne remet pas en cause toutes les expertises dans les autres domaines de la science. Un peu de respect pour les anatomistes, les palynologues, les médecins, etc. s’il vous plaît! Pour qu’un résultat soit confirmé, il faut l’interdisciplinarité des sciences afin de la parler de la science dans son ensemble.
La datation du carbone 14 est debunké depuis un moment également :
C’était sans compter sur une autre étude, parue en 2013 et combinant de nouvelles méthodes chimiques et mécaniques, affirmant que le tissu date de 300 avant J-C, avec une imprécision de plus ou moins 400 ans.
Preuves bibliques
1 Pierre 2 :
24 Lui qui a lui-même porté nos péchés dans son corps à la croix afin que, libérés du péché, nous vivions pour la justice. C’est par ses blessures que vous avez été guéris.
Matthieu 28 :
05 L’ange prit la parole et dit aux femmes : « Vous, soyez sans crainte ! Je sais que vous cherchez Jésus le Crucifié.
06 Il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il reposait.
Livre d’Isaïe 53 (antérieur à Jésus Christ) :
03 Méprisé, abandonné des hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, il était pareil à celui devant qui on se voile la face ; et nous l’avons méprisé, compté pour rien.
04 En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé. Et nous, nous pensions qu’il était frappé, meurtri par Dieu, humilié.
05 Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris.
Pour ceux qui me diront, « la Bible est falsifié » je vous invite à lire l’article sur l’authenticité indiscutable de la bible et des évangiles.
Sources : Aelf / Nicematin / Pearson / Ebior / Yurileveratto / Coran-seul