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Benedetta, critique d’un Catholique, le film d’athées dégénérés

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Benedetta est le nouveau film sur une mystique lesbienne qui fait fureur chez les athées actuellement…

Elle est considérée comme un personnage important dans l’histoire de la spiritualité féminine et du lesbianisme. La dramaturge canadienne Rosemary Rowe a écrit une pièce sur sa liaison avec la sœur Bartolomea, Benedetta Carlini: Lesbian Nun of Renaissance Italy.

On peut déjà lire sur le site de Vanity Fair dans l’article de Lucie Claes :

« Benedetta, le film que lui consacre Paul Verhoeven, avec Virigine Efira dans le rôle-titre, Daphné Patakia dans celui de Bartolomea et Charlotte Rampling, devrait faire connaître cette religieuse au parcours singulier à un public plus large. N’en déplaise à certaines associations catholiques intégristes.« 

Gneugneu cathos intégristes pas contents, gneugneu. 

Tu veux qu’on commence à blasphémer ta religion la laïcarde qui a pour symbole Marianne qui n’est d’autre que Mithra, une divinité satanique ? 

Elle est une religieuse trompée par le démon, déjà d’une, puis emprisonnée pour avoir pratiqué l’homosexualité, avoir agressé sexuellement sa sœur, ne pas avoir observé les lois de Dieu et avoir été possédée par Satan. Benedetta Carlini n’est pas « SAINTE« , elle n’est qu’une ancienne religieuse condamnée et ayant eu des transes avec le Diable.

Ils sont déjà en extase d’avoir trouvé une religieuse catholique lesbienne, afin de salir un peu plus l’image de notre religion. On va voir ensemble ce qu’il en est vraiment. Nous sommes habitués à ces athées dégénérés qui sexualisent à tout va le clergé catholique et surtout en prenant un malin plaisir d’insulter les hommes et femmes de foi, donc Dieu.

La bande-annonce hyper sexualisée contre-nature.

Histoire de Benedetta Carlini

Née dans une ville de Toscane, Vellano, en 1590, les parents de Benedetta vivaient dans le confort matériel. Guiliano Carlini était le 3e homme le plus riche des 800 habitants de Vellano.

Il possédait une maison à Vellano ainsi qu’une ferme, il était très instruit, ce qui n’est pas commun à la fin du XVIe siècle. La mère de Benedetta, Midea d’Antonio Pieri, était la fille du prêtre de la paroisse, Le couple jouissait d’un vrai prestige social dans le village. Benedetta était leur fille unique. Son père se chargea de son éducation. À 5 ans, elle savait ses prières et la litanie des saints qu’elle récitait sur son rosaire. À 6 ans, elle apprit à lire et étudia les rudiments du christianisme. Il est même possible qu’elle ait été initiée au latin. Sa mère était très dévote et particulièrement dévouée à sainte Catherine de Sienne. Elle avait aussi une très grande dévotion pour la Vierge et avait offert à sa fille une statue d’elle pour la protéger.

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A 9 ans, elle est placée dans le couvent des « sœurs de l’Immaculée Conception » qui avait été fondé en 1584 à Naples par Ursula Benincasa. Il s’agissait donc d’un nouvel ordre qui n’était pas encore totalement reconnu par l’Église de Rome et qui devait faire ses preuves. Toute la vie de Benedetta, entre ses 9 ans et la date de sa mort, s’est déroulée dans les murs du couvent de la Mère de Dieu (Madre de dio) de Pescia

Ursula Benincasa a été soumise à des examens rigoureux par une commission qui comprenait le cardinal Giulio Antonio Santorio, alors Grand Inquisiteur à Rome, et Philippe Néri, fondateur de la Congrégation de l’Oratoire. La commission reconnut ses vertus religieuses et elle put rentrer à Naples, avec l’autorisation de fonder une communauté religieuse. En 1584, elle fonde à côté de son église les Sœurs Oblates de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie (en italien : Oblate della SS. Concezione di Maria), dont les membres se consacrent à l’éducation de la jeunesse, en particulier des filles.

La vie religieuse de Benedetta Carlini

À vingt-trois ans, le chemin de Benedetta Carlini en tant que visionnaire a déjà commencé. On ne peut que comprendre l’étonnement ou l’effroi de cette jeune femme qui n’a pratiquement aucune connaissance de ce qu’est le monde hors des murs du couvent, à écouter les voix étranges qui lui murmurent la nuit ce qui va lui arriver, à assister à des apparitions incroyables qui se révèlent devant elle. Benedetta se confie à son père confesseur, disant qu’elle est inquiète qu’en réalité les événements étranges qui l’impliquent soient plus l’œuvre du diable que de Dieu. Paolo Remembered, cependant, son père spirituel, l’encourage à cultiver ces pouvoirs extraordinaires, disant qu’il est certain que cela ne peut venir que de Dieu.

Sur le corps de Benedetta, les blessures des stigmates deviennent visibles. Benedetta confesse les visions nocturnes, au cours desquelles le Christ lui apparaît alors que la femme est en état de transe, et la teste, lui demandant jusqu’où elle serait prête à aller au nom de l’amour de Dieu.

Mea Crivelli, une sœur, témoigne avoir été témoin de ses propres yeux des extases de Benedetta, qui ont eu lieu la nuit, dans sa cellule. Elle la vit dans un état que l’on pourrait définir à mi-chemin entre le rêve et la réalité, elle l’entendit converser avec le Christ, même si Mea était incapable de le voir. La religieuse va même jusqu’à témoigner avoir vu l’extraction du cœur de Benedetta, sans que l’abbesse meure avec. C’est Jésus qui l’aurait privée de son cœur, preuve de l’amour unique que Benedetta éprouvait pour lui. Mea ajoute aussi qu’elle a touché la poitrine de Benedetta et y a vu un vide énorme, mais qu’elle l’a miraculeusement comblé immédiatement après. Des descriptions horribles qui ont choqué la vie des sœurs du cloître.

Le 26 mai 1619, elle vécut des épousailles mystiques avec le Christ en présence des sœurs de sa communauté. Jésus aurait parlé par sa bouche et aurait délivré un long sermon sur la supériorité de Benedetta, menaçant de punir tous ceux et toutes celles qui lui désobéiraient.

Pendant ce temps Benedetta, en transe, montre tous ses pouvoirs extraordinaires : elle converse avec la Vierge Marie, avec les saints et avec Jésus.Son histoire suscite un énorme tollé et éveille en même temps les soupçons et la curiosité de l’Église. De tels événements miraculeux et miraculeux doivent être étudiés avec une rigueur scientifique. Dès lors, une première enquête sur l’étrange cas de l’abbesse Benedetta Carlini est lancée, menée par Stefano Cecchi, qui visite la cellule de Benedetta quatorze fois en deux mois, à la recherche de preuves pouvant réellement dire si Benedetta est un saint ou un mystificateur. .

Déjà lors de la première enquête, le nom de la jeune sœur, Bartolomea Crivelli, figure parmi les personnes interrogées. Sa silhouette s’avère pourtant essentielle lors de la seconde enquête, celle au cours de laquelle les habitudes sexuelles « étranges » de l’abbesse sont révélées. Cette deuxième enquête se déroule d’août 1622 à mars 1623. La nouvelle enquête serait déclenchée par l’événement suivi de la mort et de la résurrection de toute la communauté de Pescia de Benedetta, en mars 1621, un événement qui a apparemment été prophétisé par un ange, Tesauriello Fiorito. Le nonce papal Alfonso Giglioli lui-même intervient dans la question. Les enquêtes prennent cependant une tout autre tournure, précisément à cause des propos du jeune Bartolomea qui avoue les abus sexuels répétés commis par Benedetta sur elle. La jeune religieuse était au service de l’abbesse pendant deux ans. Elle a été témoin de ses épisodes répétés de transe et juste au moment où l’abbesse est dans cet état, selon son témoignage, elle exigerait de la jeune femme qu’elle rende certains services sexuels.

« Il est en transe quand on fait ça. Son ange Splenditello lui dit de faire ces choses, il apparaît comme un enfant de huit, neuf ans »,

ce sont les mots avec lesquels Bartolomea décrit les demandes de l’abbesse, qui se ferait masturber principalement par la jeune religieuse. Benedetta se défend en déclarant que les actes sexuels avec Bartolomea font également partie de ses expériences mystiques.

Étrange cas d’homosexualité féminine, d’autant plus que l’abbesse ne bouge pas de sa thèse et reste fermement convaincue que le sexe fait aussi partie de sa vie bizarre de faiseuse de miracles et de sainte. L’Église ne le lâche évidemment pas. L’homosexualité est considérée comme un péché très grave, contre-nature et contre Dieu.

De plus, les intentions tout sauf spirituelles de l’abbesse ramènent toute son expérience mystique à toute une série d’accidents facilement imputables au diable plutôt qu’à Jésus-Christ. Le cas de Benedetta ne laisse pas beaucoup de chances pour que la femme soit innocentée. L’abbesse est en effet condamnée à la réclusion à perpétuité. Une peine à perpétuité que la religieuse purgera dans la cellule de son propre couvent.

La condamnation prouve la supercherie

L’Église a rendu son jugement concernant cette « sœur » elle n’est nullement Sainte, ni bienheureuse, au contraire, toutes ces extases pornographiques sont de la main de Satan, adversaire de Dieu.

Il singe Jésus-Christ, Satan est un ange déchu ayant gardé ses pouvoirs, il peut apparaitre sous la forme qui le souhaite, il peut faire également des prodiges, beaucoup d’apparitions, de « miracles » dans l’histoire de l’église ont été refusées suite à une enquête de Vatican, car cela était de la main du diable.

Dieu, parmi les milliers de Saints que compte l’Eglise Catholique, n’a jamais fait renier sa propre loi, ses propres commandements à ses créatures. Il n’a jamais prêché le vice, la décadence, le contre naturisme. On voit également que le démon parle par la bouche de la « sœur » et professe la « supériorité » de la sœur Benedetta ce qui est tout le contraire de Jésus-Christ qui souhaite nous voir humbles, le cœur abaissé.

Voyons quelques versets de la loi et des commandements de Dieu :

Genèse 1:27-28 :
Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre.

Dieu a créé l’homme pour qu’il épouse une femme, quitte ses parents, remplisse la terre et se multiplient, mais jamais pour former un couple de même sexe.

Lévitique 18:22 :
Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C’est une abomination.

1 Corinthiens 6:9 :
Ne savez-vous pas que ceux qui pratiquent l’injustice n’auront aucune part au royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : il n’y aura point de part dans l’héritage de ce royaume pour les débauchés, les idolâtres, les adultères, les pervers ou les homosexuels, ni pour les voleurs, les avares, pas plus que pour les ivrognes, les calomniateurs ou les malhonnêtes.

Romains 1:25-26 :
25 Oui, ils ont délibérément échangé la vérité concernant Dieu contre le mensonge, ils ont adoré la créature et lui ont rendu un culte, au lieu du Créateur, lui qui est béni éternellement. Amen !
26 Voilà pourquoi Dieu les a abandonnés à des passions avilissantes : leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à des pratiques contre nature.

Dieu ne crée personne avec des désirs homosexuels. La Bible nous dit qu’une personne devient homosexuelle à cause du péché, que c’est une conséquence de ses propres choix. Il est possible de naître avec une plus forte prédisposition à l’homosexualité, tout comme certains naissent avec une tendance à la violence et à d’autres péchés. Cela n’excuse pas la personne qui choisit de pécher en s’adonnant à ses désirs coupables. Si une personne est née avec une plus grande sensibilité à l’irritation et à la colère, cela justifie-t-il ensuite qu’elle s’abandonne à ces désirs ? Bien sûr que non ! Il en va de même pour l’homosexualité.

L’Eglise Catholique ne condamne pas les personnes, mais les actes et elle prône l’abstinence, que ce soit pour les personnes homosexuelles ou pour les personnes non mariées.

Conclusion

Pour conclure, l’Église a déjà tranché le cas de Benedetta Carlini, ce n’est pas une Sainte, ne vous y méprenez pas, la clique bienpensante donneuse de leçon veut encore une fois entacher la religion catholique, avec son film pornographique, afin d’instituer de fausses idées ou de faux préjugés et ainsi salis Dieu et son Église, l’Église Catholique. Le film est « inspiré » de faits réels, mais exagéré à outrance.

Publié par Napo

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